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18 février 2008

Grosse pute.

Grosse pute.

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16 février 2008

Sur cet air qui bat, qui bat comme un coeur de bois.

- Les gens disent que je ne peux plus me contenter de n'être que ton amant.
- Je dormais, juste.

Padam, padam, padam.

- Je suis sérieux.
- Et moi donc.
- Dis quelque chose. Dis-moi juste oui. Nous y sommes presque, qu'est-ce que tu fous ?
- Je dormais, juste.

Des veux-tu, en voilà, par paquets.

- Embrasse-moi.
- Il fait noir.
- Embrasse-moi, putain.
- Cet air me rendra folle.
- Je t'aime.

Une nuit démise, une autre ; encore une. Réveillez-moi.

26 janvier 2008

Kids, don't buy drugs... Become a pop-star and they give them to you for free!

If I should stay
I would only be in your way
So I'll go but I know
I'll think of you every step of the way

And I will always love you
I will always love you

You, you, my darling you*

Bittersweet memories
That is all I'm taking with me
So goodbye Please don't cry
We both know I'm not what you
You need

And I will always love you
I will always love you

I hope life treats you kind
And I hope you have all you dreamed of
And I wish to you joy and happiness
But above all this, I wish to you love

And I will always love you
I will always love you

I will always love you
You, darling I love you
Oh, I'll always, I'll always love you

21 janvier 2008

Rectification. Ce qui y ressemble, du moins.

21.01.08, 19h26.
"Je serai toujours avec toi, on n'est pas un couple. Ce n'est pas de ta faute si ça se passe mal. Ne sois pas malheureuse. Je t'aime."

21 janvier 2008

J'ai peur. Serre-moi. Aime-moi. Baise-moi. Fais quelque chose.

Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être

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17 janvier 2008

Je suis malheureuse.

    Je serais "provocatrice", "froide", "egocentrique", "hautaine", "prétentieuse", je cite. La Philosophie et les Mathématiques ne me passionnent plus. Je m'ennuie, je les pleure. Je lis Camus et Flaubert, sans même plus m'attacher au sens ; le temps passe, voilà tout.

« Ce n'est pas qu'elle ne soit belle comme un ange, qu'elle n'ait de la finesse, de la grâce ; mais aucun esprit de libertinage, rien de ces talents propres à réveiller la langueur des hommes blasés. », Diderot, Jacques le Fataliste et son Maître
    J'attends Avril pour me plonger aux Nues avec Elle*, balbutier des tirades de Shakespeare et déblatérer structures latines&autres amitiés. J'attends quelqu'un qui ne me trouvera pas, qui m'a sans doute perdue depuis trop longtemps pour. Elle a parlé de la prépa Henri IV. J'ai pleuré, la porte de ma chambre franchie. Il ne s'agissait pas de s'envoyer en l'air avec mes Tripes, elle le savait. Des photocopies. Elle est si. Soit. J'attends Samedi, pour rester au lit. Je n'en peux plus, et, je suis malheureuse.

«Les coeurs des femmes sont comme ces petits meubles à secret, pleins de tiroirs emboîtés les uns dans les autres.», Gustave Flaubert, L'Education sentimentale

J'attends d'être heureuse.

14 janvier 2008

J'aimais.

Lisa_Minelli

Je ne te survivrai pas, non.
Que je prétende que tu n'es plus ; encore, un peu.

Cela n'ira pas mieux, n'est-ce pas ? Les cris, les coups, les larmes. Le pathétique porté aux nues, mes cuisses bleuies. Je t'ai aimé, tu es si dur. Froid. Et les cris, les coups, les larmes. Je suis incapable face à toi, les ombrelles déchantent. Il neige et tu dérobes mon corps, je te baigne de nos morts. Je t'ai aimé, et les cris, les coups, les larmes. Ce n'est plus une vie côte à côte, mais belle et bien ton existence à bâtons rompus sur le dos de la mienne.


Je t'ai aimé, je ne suis plus.

Je ne m'en remettrai pas.
Tu sifflotes dans l'escalier.

2 janvier 2008

Spotless.

Copie_de_CIMG9747

11 décembre 2007

Journal, Ciné-Club, F.S.E., Atelier d'écriture, Elles&Vire.

Portrait_4

L'éclair me dure
La poésie me volera de la mort.

- René Char -

9 décembre 2007

Le front.

Je suis en retard, à l'orée de nos émois. L'échéance est dépassée, un souvenir presque oublié, maintenant. Les promesses et la conquête auraient dû "aller de soi", te rappelles-tu? Il te fallait une femme belle, intelligente, brillante, spontanée, réinventée chaque jour. Là, j'y suis presque, je le sais. Presque ; et tu es si loin. Tu as sans doute oublié tes reproches latents qui ont appelés mes efforts. Deux ans et sept mois, depuis quelques heures. Je te cherche du regard, tu ne me vois plus ; les délires de mes hémorragies ne te confondaient guère, autrefois ; j'imagine bien aujourd'hui.
Et tu sais, quand bien même tu m'aimerais toujours, je n'y croirais pas.
Je suis idiote. Tu ne me le répèteras jamais assez, au détour d'un regard ; mais jamais ton mépris ne sera aussi grand que celui que m'inspirent mes tripes éventrées. J'ai donné les Grandes Premières, la plus douce de mes romances, retenu les larmes les plus acides. Tu ne m'aimes plus. En fait, tu as cessé de m'aimer lorsque tu m'as embrassée. Le jeu était allé trop loin ; il n'avait jamais été vraiment question, pour toi, d'officialiser les réjouissances.
J'y crois toujours, pourtant. J'attends. Vertueuse et modelable à souhaits. Prends-moi.

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